La suite des scans de ma collection de magazines "le Petit Echo de la Mode", de la période 1941-1944.
Que lisons nous dans ce numéro? "Quand vous allez à des obsèques...", un 2 novembre, c'est de saison. En cuisine, on prépare des courges, des betteraves, de l'arroche, des orties et même de la luzerne. On tricote, on décore ses napperons, on fait en sorte que les enfants aille coucher tôt afin qu'il puisse bénéficier d'une nuit assez longue... Bref, malgré la guerre, on parle surtout de tout ce qui touche à la vie quotidienne.
Car c'était bien là le but de ce magazine qui se voulait "féminin" et "familial": aider les mères de famille dans leur vie de tous les jours. Mode, couture, cuisine, décoration d'intérieur, éducation des enfants, médecine, loisirs,... tous les sujets sont abordés. Fondé en 1880, il connait un franc succès. Il est tiré à 300.000 exemplaires dès 1900 et à 1.500.000 en 1950! Il cesse de paraitre en 1983 et je me fais un plaisir d'en lire chaque nouveau numéro en ma possession, comme étant le témoignage de ce qu'a pu être la vie quotidienne sous l'Occupation.
Assez philosophé, passons aux scans ;-)
Que lisons nous dans ce numéro? "Quand vous allez à des obsèques...", un 2 novembre, c'est de saison. En cuisine, on prépare des courges, des betteraves, de l'arroche, des orties et même de la luzerne. On tricote, on décore ses napperons, on fait en sorte que les enfants aille coucher tôt afin qu'il puisse bénéficier d'une nuit assez longue... Bref, malgré la guerre, on parle surtout de tout ce qui touche à la vie quotidienne.
Car c'était bien là le but de ce magazine qui se voulait "féminin" et "familial": aider les mères de famille dans leur vie de tous les jours. Mode, couture, cuisine, décoration d'intérieur, éducation des enfants, médecine, loisirs,... tous les sujets sont abordés. Fondé en 1880, il connait un franc succès. Il est tiré à 300.000 exemplaires dès 1900 et à 1.500.000 en 1950! Il cesse de paraitre en 1983 et je me fais un plaisir d'en lire chaque nouveau numéro en ma possession, comme étant le témoignage de ce qu'a pu être la vie quotidienne sous l'Occupation.
Assez philosophé, passons aux scans ;-)
Bonne soirée et à mercredi prochain,
Callisto
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