"Cette année, fêterons-nous Noël?
Non, répondront peut être beaucoup de nos lectrices, nous n'en avons ni le désir ni le moyen."
L'édito de cet avant-dernier numéro de l'année 1942 donne le ton: les temps sont rudes. On essaie d'avoir chaud, de faire durer ses vêtements le plus longtemps possible, on utilise tout ce qu'on a sous la main le mieux possible.
On rénove une ancienne robe avec une garniture nouvelle, on refait un nouvel ensemble à partir de deux ensembles usagers, on utilise au mieux les coupons de tissu disponibles et on n'hésite pas à retirer quelques poignées de laine de son matelas. Bref, en un mot (ou plutôt deux), on est adroite et ingénieuse!
Non, répondront peut être beaucoup de nos lectrices, nous n'en avons ni le désir ni le moyen."
L'édito de cet avant-dernier numéro de l'année 1942 donne le ton: les temps sont rudes. On essaie d'avoir chaud, de faire durer ses vêtements le plus longtemps possible, on utilise tout ce qu'on a sous la main le mieux possible.
On rénove une ancienne robe avec une garniture nouvelle, on refait un nouvel ensemble à partir de deux ensembles usagers, on utilise au mieux les coupons de tissu disponibles et on n'hésite pas à retirer quelques poignées de laine de son matelas. Bref, en un mot (ou plutôt deux), on est adroite et ingénieuse!
Pour les abonnements, c'est toujours 36 francs l'année, mais le "Petit Echo de la Mode" ne parait plus que deux fois par mois au lieu de tous les dimanches.
Et pour finir cet article, une petite publicité SNCF (oui, j'avoue tout, je les aime toutes ^^)
Bonne soirée et à la semaine prochaine,
Callisto
Callisto
C'est génial ! Merci !
RépondreSupprimer